dimanche 12 février 2012

Un Chien Andalou

La chose que l'on peut dire d'un Chien Andalou c'est que il faut en vouloir pour comprendre. Le début (et même un peu du reste) est assez violent donc âme sensible s’abstenir, après on est perdu par des choses qui ne semble pas avoir de sens comme la scène avec les ânes morts. Mais on ressent quand même une tension pendant toute la projection c'est peut être pour ça que l'on place cet œuvre comme une œuvre majeur du surréalisme.
On a aussi cet image emblématique de cette femme qui se fait trancher l’œil et c'est cette image à la quel on pense quand on se remémore le film.
Le film est quand même une prouesse en soit car c'est un film qui parle de mort, de sexualité et de rêve. Il a été fait en 1929, le film ne se stop pas a son époque et nous entraine avec lui dans ses folies, on voit un peu de folie mais surtout une créativité qui ne se laisse pas limité. Un exemple a suivre en soit dans un travail d'équipe rondement mener entre Salvador Dali et Luis Buñuel.

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