The Ballad of Sexual Dependency
Nan Goldin nous présente un diaporama alimentés par neuf machines à diapositives et agrémenter par des musiques.
Au départ on est dérouté par le son des diapositives puis on se laisse entrainer dans cet univers qui est d'ailleurs un récit autobiographique. On se plonge donc au fur et à mesure de la projection dans la vie de Nan Goldin dans cet univers en marge de la société. Rien n'est vraiment caché entre le sexe, la drogue, le thème de la mort est aussi arpenter.
Les photos sont parfois floue, mal cadrées. Rajoutant ainsi au malaise ambiant. On parcoure donc la vie de Nan Goldin ballotté dans les nombreux tabous qu'elle nous montre, on découvre ses obsessions sur la transformation des corps, pars le tatouage, la trans-sexualité, les plaies, mais aussi les corps de femme enceinte. On parcoure sa mémoire, certes ce n'est pas toujours joli, mais au moins on apprécie la volonté de l'artiste de ne pas vouloir masquer ce qui choque. Et c'est ce que j'apprécie chez cet artiste qui nous montre l'humain dans ça plus pure forme. Le diaporama nous fait réagir d'une manière ou une autre, car les sujets abordés nous frappes de manières viscéral.
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