dimanche 12 février 2012

Samuel Boche "Moniker"


 Le moniker est un voyage sans jeux de mots. Samuel Boche nous fait partager un voyage dans les trains de nuit dans un film aux accent documentaire. Déjà l’appellation Moniker est a prendre en compte car un Moniker est une trace laisser par les hobos sur les trains. Et c'est de ça que parle son film c'est une trace laisser par les gens qu'il a rencontrer pendant son voyage (qui a durer deux mois d'hiver).
Contrairement à se que l'on peut croire le film ne dénonce pas la société mais plutôt nous fait découvrir des gens que l'on n'approcherait probablement pas de nous même. Un autre point important dans le Moniker est l'attente. Une attente entre un départ et une arriver.

On peut apparenter son travail au road movie, mais un road movie ou le personnage principal n'est pas fixé ou les gens vont et vienne. C'est ce que j'apprécie dans le Moniker, c'est poétique, c'est que l'on est entrainer dans un voyage, on se laisse bercer par les mouvements du train, les paysages et les gens rencontrer.

Expos de Versailles


 
Versailles c'est une des pierres majestueuse de notre patrimoine français. Le château de Versailles représente la beauté le raffinement et le savoir faire de toutes une époque. Si on la visiter on peut se rappeler de ses nombreux jardin, ses chambres décorer et recouvert de dorure du sol au plafond. Le problème étant que si on la vu une fois qu'es ce qui nous pousserait a vouloir revenir ? 
 
Jean Jacques Aillagon décidât alors de dépoussiéré se monument de la culture française, et quel meilleur façon de le faire que de nous faire rentré en contact avec de l'art contemporain.

En 2008 Le premier a avoir foulée Versailles de ses œuvres est Jeff Koons
Sa commence assez fort car Jeff Koons pour cette exposition nous déploie des sculptures en plastiques disons pour ma part je n'accroche pas au style mais il fallait osez.

Au total c'est quinze sculpture d'ambiance Pop/Kitsch qui sont exposé dans les différentes salles de Versailles donnant un contraste intéressant et une ambiance enfantine à un endroit ou l'on ne s'y attend pas. L'exposition créer scandale même un procès est intenté, mais surtout un point majeur la fréquentation de Versailles augmente. Donc l'exposition à eu l'effet escompté.











En 2009 C'est au tours de Xavier Veilhan. La ça ne rigole plus l'artiste créer ses œuvres pour le sites
Xavier Veilhan est plus présent sur l'extérieur que Koons et surtout il est plus grandiloquent. Se que j'apprécie vraiment c'est qu'il met des des œuvres vraiment en rapport avec l'endroit, tous en apportant sa touche personnel.
Mais c'est hélas pour ça que l'on se souvient moins de son exposition que Koons car il choque moins et donc créer par la même occasion moins de remoud.




En 2010 Takashi Murakami rentre en scène. Il nous propose un univers vif, gai et déjanté. Murakami nous propose des œuvres massives comme le Oval Bouddha. L'univers de Murakami est coloré dans un univers baignant dans la culture manga. On apprécie le choc des cultures ici qui se sublime l'une et l'autre. L'exposition contait un total de vingt-deux œuvres acidulées.
La encore l'exposition comme celle de Koons créer la polémique du comment ose t’ont "profaner" le château de Versailles. Se qui prouve que l'exposition est importante car elle pousse les gens à se questionner et surtout pousse les curieux à aller voir.






Enfin 2011 Bernard Venet. C'est un  autre univers qui est explorer cette fois on quitte les univers kitsch et acidulé pour des structures en acier monumental. Elle domine l'endroit et pourtant semble parfois fragile. La encore l'exposition choque moins que les univers colorés qui sont passer avant lui mais surtout toutes les œuvres ici exposée on été exposée à l'extérieur.




Au final Ailagon à été remplacer Catherine Pégard qui dans sa première déclaration annonça que les artistes n'utiliseront plus Versailles comme décors mais servirait Versailles. Je ne pense pas que rétablir une monarchie à Versailles soit la meilleur idée car dans les exemple cité précédemment on se rend compte que les artistes qui on marquer le plus les spectateurs sont ceux qui on choqués.

En fin de compte Versailles à reçu plus de visiteurs grâce aux expositions de ses artiste, je suis donc heureux que se "dépoussiérage" ait fonctionné.

Un Chien Andalou

La chose que l'on peut dire d'un Chien Andalou c'est que il faut en vouloir pour comprendre. Le début (et même un peu du reste) est assez violent donc âme sensible s’abstenir, après on est perdu par des choses qui ne semble pas avoir de sens comme la scène avec les ânes morts. Mais on ressent quand même une tension pendant toute la projection c'est peut être pour ça que l'on place cet œuvre comme une œuvre majeur du surréalisme.
On a aussi cet image emblématique de cette femme qui se fait trancher l’œil et c'est cette image à la quel on pense quand on se remémore le film.
Le film est quand même une prouesse en soit car c'est un film qui parle de mort, de sexualité et de rêve. Il a été fait en 1929, le film ne se stop pas a son époque et nous entraine avec lui dans ses folies, on voit un peu de folie mais surtout une créativité qui ne se laisse pas limité. Un exemple a suivre en soit dans un travail d'équipe rondement mener entre Salvador Dali et Luis Buñuel.

lundi 23 janvier 2012

Nan Goldin

 The Ballad of Sexual Dependency

Nan Goldin nous présente un diaporama alimentés par neuf machines à diapositives et agrémenter par des musiques.

 
Au départ on est dérouté par le son des diapositives puis on se laisse entrainer dans cet univers qui est d'ailleurs un récit autobiographique. On se plonge donc au fur et à mesure de la projection dans la vie de Nan Goldin dans cet univers en marge de la société. Rien n'est vraiment caché entre le sexe, la drogue, le thème de la mort est aussi arpenter.


Les photos sont parfois floue, mal cadrées. Rajoutant ainsi au malaise ambiant. On parcoure donc la vie de Nan Goldin ballotté dans les nombreux tabous qu'elle nous montre, on découvre ses obsessions sur la transformation des corps, pars le tatouage, la trans-sexualité, les plaies, mais aussi les corps de femme enceinte. On parcoure sa mémoire, certes ce n'est pas toujours joli, mais au moins on apprécie la volonté de l'artiste de ne pas vouloir masquer ce qui choque. Et c'est ce que j'apprécie chez cet artiste qui nous montre l'humain dans ça plus pure forme. Le diaporama nous fait réagir d'une manière ou une autre, car les sujets abordés nous frappes de manières viscéral.